8 décembre 2004
crise de philosophie aigue...
Non j'écris pas souvent... si je continue à écrire une fois tous les trois mois c'est sur que ça va pas servir à grand chose...
Mais si je ne sais même pas ce que j'attend de ce blog, c'est sur que je ne vais pas écrire très souvent.
Faut-il commencer par lui donner de l'importance ou par savoir en quoi elle consisterait, s'il en avait... Assez compliqué, ou peut-être pas.
Si je commençais par dire ce que je pense... En admettant que j'oublie qu'en ce moment même j'ai la tête complètement vide, que mes contrariétés n'interressent personne puisqu'elles ne sont pas interressantes et que si elles l'étaient, les gens qui les liraient me verraient comme... comme quoi ? une pleurnicharde égoïste qui ne parle que d'elle ? Après tout, c'est encore mon blog jusqu'à preuve du contraire, bien que pas très utile, pour le moment...
Ma seule occupation en ce moment consiste à travailler... je conçois que passer ses journées enfermée entre son ordi et son bureau n'est pas en soi un mode de vie très sain, mais je ne fais pas que ça. J'ai juste l'impression de ne faire que ça. Je fais de l'aumônerie, participe à des actions caritatives, fais de l'escalade deux voire trois fois par semaine, et ça me plait ! enfin je crois...
Je m'embrouille dans mes pensées, met des points de suspension à chaque fin de phrase... Peut-être parce que mes idées ne sont pas très claires, que je suis un peu molle et qu'aucune de mes idées n'est abouttie... (la parole du soir "au lit" me casser en pleine reflexion essentielle à mon développement humain est vraiment inoncevable... qu'est ce que je raconte comme connerie encore)
J'ai l'impression de me mentir à moi même quand je ris durant la journée, mais j'ai l'impression que ça ne me fait pas plus de mal que ça, que ça me plais plutôt d'ailleurs. Et c'est de ça que je m'inquiète. Est-ce que je ne suis pas en train de me manquer de respect ? Mais si j'étais moi même en permanence, ça serait nettement moins amusant.
Le seul moment ou je suis vraiment moi même, c'est un jour par mois, quand j'ai le SPM (syndrome pré-menstruel), quand j'envoie chier tout le monde et que j'ai des envies de meurtres, là je me sens libre.
Sans queue ni tête, je vous l'accorde, mais s'il y a un corps, quelle importance.
Mais si je ne sais même pas ce que j'attend de ce blog, c'est sur que je ne vais pas écrire très souvent.
Faut-il commencer par lui donner de l'importance ou par savoir en quoi elle consisterait, s'il en avait... Assez compliqué, ou peut-être pas.
Si je commençais par dire ce que je pense... En admettant que j'oublie qu'en ce moment même j'ai la tête complètement vide, que mes contrariétés n'interressent personne puisqu'elles ne sont pas interressantes et que si elles l'étaient, les gens qui les liraient me verraient comme... comme quoi ? une pleurnicharde égoïste qui ne parle que d'elle ? Après tout, c'est encore mon blog jusqu'à preuve du contraire, bien que pas très utile, pour le moment...
Ma seule occupation en ce moment consiste à travailler... je conçois que passer ses journées enfermée entre son ordi et son bureau n'est pas en soi un mode de vie très sain, mais je ne fais pas que ça. J'ai juste l'impression de ne faire que ça. Je fais de l'aumônerie, participe à des actions caritatives, fais de l'escalade deux voire trois fois par semaine, et ça me plait ! enfin je crois...
Je m'embrouille dans mes pensées, met des points de suspension à chaque fin de phrase... Peut-être parce que mes idées ne sont pas très claires, que je suis un peu molle et qu'aucune de mes idées n'est abouttie... (la parole du soir "au lit" me casser en pleine reflexion essentielle à mon développement humain est vraiment inoncevable... qu'est ce que je raconte comme connerie encore)
J'ai l'impression de me mentir à moi même quand je ris durant la journée, mais j'ai l'impression que ça ne me fait pas plus de mal que ça, que ça me plais plutôt d'ailleurs. Et c'est de ça que je m'inquiète. Est-ce que je ne suis pas en train de me manquer de respect ? Mais si j'étais moi même en permanence, ça serait nettement moins amusant.
Le seul moment ou je suis vraiment moi même, c'est un jour par mois, quand j'ai le SPM (syndrome pré-menstruel), quand j'envoie chier tout le monde et que j'ai des envies de meurtres, là je me sens libre.
Sans queue ni tête, je vous l'accorde, mais s'il y a un corps, quelle importance.